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le blog des communistes et sympathisants de Ploemeur et Larmor-plage

11 juin 2015

Ploemeur, à vouloir trop tirer la ficelle...elle casse

Nous découvrons, de jour en jour, les effets de la politique municipale de la Droite dure de Ploemeur.

Les derniers avatars sont ceux qui conduisent les dirrigeants d'associations ou de structures à démissionner.

Les motifs sont divers, mais beaucoup font part des pressions municipales qui ont pesé sur eux au cours de ces derniers mois.

La volonté manifestée par les élus de la Majorité municipale de faire des associations des courroies de transmission de leur politique, décourage et entraîne lassitude et refus de contribuer à des orientations qui, par ailleurs, privent de leur emploi, nombre de personnels déjà en poste.

L'intention de diminuer la masse salariale du budget communal entraîne la privatisation de certaines activités (signature récente d'un appel d'offre avec ADECCO, pour le remplacement temporaire des personnels) et se poursuit avec la recherche de l'utilisation des associations pour prendre en charge les TAP.

Le "donnant-donnant"(une subvention en contrepartie d'une prestation dans les TAP), n'est pas acceptable. La contribution des associations à l'effort de formation et d'éducation ne date pas d'aujourd'hui et c'est une bonne chose, autre chose est de vouloir soumettre les associations à cette démarche.

Par ailleurs, vouloir faire assumer des missions de service public, jusque là assurées par du personnel communal, par des bénévoles ne permet pas d'envisager avec sérénité la régularité et la poursuite du service rendu. C'est pourtant ce qui se passe avec l'arrêt de la présence d'un personnel communal devant les écoles Prévert et Desnos afin d'aider à la traversée du boulevard François Mitterand.

Il ne faut pas se leurrer, c'est bien de réduction des activités assumées par la Mairie dont il s'agit.

Michel LE MESTRALLAN

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7 juin 2015

services publics, vous avez dit ...services publics

 

1Par une annonce faite en conseil d'école, les parents de l'école Jacques Prévert ont appris l'arrêt de l'aide à la traversée du Boulevard françois Mitterrand par un personnel communal.

Les belles promesses et beaux discours s'envolent.

Suppression de la participation de la ville au salon du livre pour enfants du pays de Lorient, baisse de la dotation des associations, augmentation des tarifs de certains services communaux, l'addition s'allonge.

Si la baisse injuste de la dotation de l'Etat peut être légitimement invoquée, les choix de l'Equipe du Maire sont catastrophiques: plutôt l'achat du château de Soye que la sécurité de la traversée des enfants, plutôt l'éclairage de la guérite de Lomener que le soutien aux associations...

Pour ce qui nous concerne, nous serons aux côtés des parents de l'école, ce lundi 8 juin à 8h15, devant l'école. Ils ont repris le thême sécuritaire de l'affichage municipal pour donner du sens à leur refus, voilà une bonne idée.

 

 

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29 mai 2015

reunion mensuelle JUIN 2015

invitation réunion mensuelle juin 2015

25 mai 2015

réforme des collèges

college 1

college 2

20 avril 2015

AGIR POUR...

Vous trouverez ci-dessous l'article publié dans l'édition de Ouest-France du samedi 18 avril.

2 regrets: - le raccourci sur la représentation au conseil municipal. En effet, j'ai été élu à partir d'une liste d'union "front de gauche-EELV". Si certains l'oublient, pas moi.

- La tonalité, il ne s'agit pas seulement de "vigilance" mais bien de la construction d'une alternative et à la Droite en place à Ploemeur et d'un rassemblement de ceux qui veulent un changement qui ne ressemble en rien à la politique nationale conduite par le parti socialiste dont il s'agit.

Michel LE MESTRALLAN

RENCONTRE AVEC OUEST

 

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6 avril 2015

RASSEMBLONS-NOUS, POUR CONSTRUIRE LE CHANGEMENT

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RASSEMBLONS-NOUS,

POUR CONSTRUIRE LE CHANGEMENT

Les communistes de Ploemeur, les adhérents de l’association du front de gauche du pays de Lorient sur le territoire du canton, les amis et sympathisants s’adressent à vous

Nous étions récemment plus de 30  à tirer les enseignements de l’épisode électoral qui vient de s’achever.

La victoire de la Droite et la progression du front national sont dommageables pour les citoyens, pour nos  villes et le canton. Elle installe un peu plus l’emprise des partisans du libéralisme et de tous ses attributs dans le paysage. Elle ne permet pas de disposer des points d’appui pour faire des collectivités territoriales « le bouclier social » dont les plus fragiles , la commune, et le département ont besoin. Elle recule l’échéance de la transition écologique,  indispensable pour l’emploi et  pour la défense de la planète.

Nous ne pouvons être satisfaits du résultat de cette élection.

De notre point de vue, la responsabilité de cette déroute incombe à la politique désastreuse du gouvernement et du Président. En mettant en œuvre une austérité qui casse les emplois, qui réduit le périmètre des services publics, qui fait le choix de distribuer l’argent public sans contrôle à ceux qui n’en ont pas besoin, en négligeant les salariés, les artisans, les petites entreprises, en ne respectant pas les engagements  pris à l’occasion de l’élection présidentielle, en ne mettant pas en place un vote à la proportionnelle,  le gouvernement et les députés socialistes ont provoqué le très fort mécontentement qui s’est exprimé dans les urnes ou dans l’abstention.

En conduisant cette politique, ils ont rendu impossible le rassemblement à gauche. Les mêmes qui aujourd’hui attribuent leur échec à cette absence d’unité tentent ainsi  de masquer leurs responsabilités. Pire encore, alors que la défaite est cuisante, ils décident de ne rien changer à la politique qui vient d’être punie.

L’échec des socialistes et de leurs alliés dans notre canton a été particulièrement  sévère. Leur division, l’absence de toute prise de position contre la politique gouvernementale, le choix de candidatures qui ne pouvaient rassembler a accentué les effets nationaux.

Dans  ce contexte, nous apprécions positivement le score réalisé par les 4 candidates et candidats que nous avons soutenus. Avec 8,75 %, le progrès sur 2011 est notable. La progression est sensible dans les 2 villes de l’ancien canton (Larmor et Ploemeur) et à un bon niveau à Quéven avec toutes les ambigüités provoquées par la candidature, sous l’étiquette PS, de l’ancien maire qui avait été élu en 2008 sous celle du PCF. A Ploemeur, avec 10,90%, c’est un résultat significatif pour une élection de ce genre.

Nous pensons que les électeurs qui ont fait le choix en plus grand nombre de nos candidats ont ainsi validé les  thèmes développés : le refus de l’austérité, des projets pour un département plus solidaire, plus démocratique et engagé dans la transition écologique. Ils ont aussi apprécié le choix du rassemblement, celui du front de gauche avec EELV. Une alliance dans la clarté et une démarche de construction des projets et initiatives avec tous ceux qui souhaitaient s’investir. Le choix de laisser les électeurs décider de leur vote au 2ème tour ayant lui-même été voté par tous les acteurs du 1er tour.

Pour aller plus loin, nous souhaitons un rassemblement élargi à tous ceux qui souhaiteraient nous rejoindre. Pas de ralliement, pas d’hégémonie dans ce rassemblement.

Nous n’avons pas vocation à regarder les décisions se prendre sans nous. Nous souhaitons que nos idées et projets puissent être mis en œuvre. Pour y parvenir nous devons être plus nombreux.

 Nous appelons les citoyens, acteurs associatifs, adhérents de partis ou de syndicats, tous ceux qui  partagent nos valeurs, à prolonger le chemin que nous déciderons ensemble.

Pour y parvenir nous vous invitons à consulter et à signer  http://chantiersdespoir.fr   

Vous pouvez consulter notre blog et nous laisser un message : http://ploemeurpcf.canalblog.com/

6 avril 2015

APPEL AU RASSEMBLEMENT

APPEL

24 mars 2015

1er tour des départementales, la déclaration des candidats

Déclaration des candidats

front de gauche-Europe Ecologie les Verts

2ème tour des élections départementales

 canton de Ploemeur

 Nous remercions les 1319 électeurs qui ont porté leur suffrage sur nos candidatures. Ce résultat est d’un bon niveau et nous engage à poursuivre notre démarche de rassemblement, dans la clarté, des forces de gauche et écologistes.

Nous constatons que, trahis par le non respect  des engagements pris, des électeurs de gauche continuent à s’abstenir massivement.

 Notre campagne  a été construite autour du refus de l’austérité, de l’ambition d’un département solidaire, mettant en œuvre la transition écologique et un fonctionnement démocratique.

Nous avons fait  savoir que la gestion par la Droite de ce département ne répond  à aucune de  ces attentes.

Nous avons combattu les idées du front national et nous nous félicitons, malgré ses progrès, de son absence du  2ème tour.

Alors qu’il était possible de l’envisager, cette élection n’a toujours pas installé la proportionnelle, pourtant  seul mode de scrutin permettant la représentation  de la voix de chacun des électeurs. 

Pour toutes ces raisons, nous  estimons  que chaque citoyen qui s’est prononcé pour nos candidatures au 1er tour,  est en mesure de décider de son choix au second tour.

Nous  ne formulons donc  pas de  « consigne de vote ».

Régine LE JEUNE- Danielle BIGOIN -  Michel LE MESTRALLAN - Thierry LE FLOCH

15 mars 2015

REUNIONS PUBLIQUES

dans le cadre de la campagne des élections départementales, les candidats du Front de Gauche et d'EELV du canton de Ploemeur organisent 3 réunions publiques:

LUNDI 16 MARS 18h30 salle des Algues à Larmor

MARDI 17 MARS 18h30 salle Port-blanc à Océanis PLOEMEUR

JEUDI 19 MARS 19h salle Robert Jégousse, route de gestel QUEVEN

Nous pourrons débattre ensemble des enjeux de ces élections, de notre programme et de toute question que vous souhaitez nous poser.

15 mars 2015

le RSA, réponses aux questions de la CGT

Avec Régine LE JEUNE,  dans le cadre des élections départementales, nous avons été interrogés à partir des questions ci-dessous.

Dans le cadre de votre mandat d’élu au conseil départemental, allez-vous proposer des consignes précises pour ne pas  supprimer tout ou partie du RSA dans le cadre d’une sanction liée à une non-contractualisation, une recherche d’emplois insuffisante, ou un refus d’offre d’emploi ? 

Dans le cas où vous répondriez par la négative à la question précédente, seriez-vous prêt à tester vous-même la réalité d’un allocataire RSA dans ce contexte d’absence totale de ressources, de réseaux, de soutien et d’aides familiales en prenant en compte l’impossibilité de contracter des crédits bancaires ? 

Afin de rompre l’isolement de ce public, seriez-vous d’accord pour que les  organisations de défense des droits des salariés privés d’emploi du département, y compris les organisations syndicales aient le droit d’affichage dans les  espaces d’accueil des professionnels recevant les allocataires ? 

Voilà nos réponses:

   Par Régine LE JEUNE et Michel LE MESTRALLAN

   FRONT DE GAUCHE-CANTON DE PLOEMEUR


Le RSA, une version libérale du minimum vital pour survivre
Avec La loi du 1er décembre 2008, instaurant le Revenu de Solidarité active, le pays devait se doter d'un outil permettant « d'assurer à ses bénéficiaires des moyens convenables d'existence » et à contrario du RMI écrivaient-ils, « ne devait pas installer les attributaires dans un statut dont ils seraient prisonniers ».
Ni le premier volet : assurer un minimum « convenable », ni le second : permettre de donner les moyens d'une sortie rapide de la pauvreté ne sont satisfaits.
Revenu convenable ? Avec 750€ par mois pour un couple sans ressources et sans enfant et 500€ pour un célibataire, soit de l'ordre du tiers du niveau de vie médian, il n'est pas possible de vivre décemment
Sortie rapide de la pauvreté ? Alors que la pauvreté ne cesse de s'étendre et que la hausse du nombre d'allocataires du RSA s'est encore accélérée.
Alors que la logique du RMI était celle d'une responsabilité sociale, d'une responsabilité de l'économie et de l'emploi dans la situation des individus, qui faisait de l'obtention, de ce RMI un droit, le RSA rompt avec ce principe. Du droit nous sommes passés à la morale, de la responsabilité extérieure à la responsabilité des personnes.
De fait les principes mis en œuvre ne sont plus les mêmes, les attributaires ne sont pas strictement définis. Le barème des ressources ne suffit plus, il faut une contrepartie. Il faut désormais répondre à un ensemble de « droits et de devoirs ».
Par ailleurs, alors que le RMI était tourné vers les sans emploi, le RSA est désormais également destiné « aux salariés pauvres », il supplée aussi les salaires insuffisants des précaires. De ce fait, il subventionne aussi les entreprises qui les versent. Avec le RSA, le contribuable paie pour partie les salaires à la place des patrons, pourquoi augmenter les salariés ?
RMI comme RSA sont les signes patents d'un échec. Qui peut croire que la sortie de la pauvreté est possible, là ou le chômage et la précarité ne cessent de grandir ?
Le recul de la part de l'Etat dans la gestion du RSA fait payer par les contribuables le choix de privilégier la finance aux dépens de l'emploi
Entre 2008 et 2013, la part des dépenses de l'Etat dans la gestion du RMI puis du RSA est passée de 95,2% à 71,3%. Les recettes des conseils généraux ne suivent pas ce désengagement de l'état. Ce n'est pas pour rien que l'asphyxie guette nombre de départements.
En aucun cas, cette situation ne doit conduire à reporter cette pression sur les attributaires du RSA.
Il est vrai que M. Goulard estime nécessaire, avec ses amis de l'UMP, de ne pas s'arrêter à 50 milliards de baisse de la dépense publique et propose d'aller jusqu'à 150 milliards. La faiblesse des dépenses sociales de ce département trouve là son explication.


Un RSA, version Goulard, qui va jusqu'au bout de la logique libérale
A l'instar d'autres questions soulevées par les élections départementales dans ce département : recul des services publics, non application des lois laïques quant à la présence des établissements publics sur certaines parties du territoire, application zélée de l'austérité, politique de réseaux d'influence, la logique libérale du RSA est poussée jusqu'au plus profond de son injustice.
La pression exercée sur les attributaires du RSA est intolérable. Mettons au défi M. Goulard de produire en face de chaque individu privé d'emploi les propositions qui leur permettraient de reprendre une activité à temps plein.


Des réponses sur le fond aux questions du chômage et de la précarité
Oui, élus nous formulerions des consignes précises pour ne pas supprimer tout ou partie du RSA pour les motifs que vous citez. Vous l'avez compris nous estimons indécent de faire des chômeurs et précaires les responsables de leur situation.
Plus encore nous formulerions des propositions précises pour une véritable sécurisation des trajectoires professionnelles avec l'affiliation automatique de chaque résident, dès la fin de la scolarité obligatoire, à un service public et social de sécurisation de l'emploi et de la formation démocratisé et décentralisé.
Ce nouveau service public et social devrait construire un système unifié d'indemnisation du chômage en sortant de la coupure assistance/assurance
Non seulement, vous auriez le droit d'affichage mais dans le service public que nous proposons qui serait ni étatique, malgré la présence des pouvoirs publics dans sa gouvernance, ni étroitement paritaire, la part du patronat étant minorée, la part des organisations syndicales et les associations de chômeurs serait importante. Les représentants des salariés dans la gestion des fonds sociaux d'indemnisation du chômage seraient élus.

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